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Sur la route de la Baie-James: Ce pays du Nord -Le parcours de pionnier du chantier de LG-2

  14 juillet 2021Baie-JamesLe Devoir - Marco Bélair-Cirino et Dave Noël

À l’occasion du 50e anniversaire du lancement du « projet du siècle » du développement hydroélectrique de la Grande Rivière, Le Devoir a pris la route de la baie James, de Matagami à Radisson. Il a plongé au coeur du territoire des Cris où la ruée vers l’or bleu québécois a laissé des traces indélébiles. Deuxième partie de cinq.

Vendredi 30 avril 1971. Le premier ministre Robert Bourassa érige le projet de développement du potentiel hydroélectrique de la baie James en « symbole » d’« un Québec au travail ». Deux ans plus tard, le chef du gouvernement trouve dans la taïga la « jeunesse [québécoise] à la conquête de son avenir ».

Aurèle Gravel fait partie des pionniers. Il pose les pieds pour la première fois en bordure de la Grande Rivière en 1971, après avoir accepté un poste de secouriste-ambulancier qui l’amène, par hydravion ou par hélicoptère, dans les camps de travailleurs s’égrenant le long du tracé de la route de la baie James. Il a à peine 21 ans. « Quand je suis arrivé ici, il y avait trois tentes », raconte M. Gravel, un demi-siècle plus tard, dans un échange dans le garage jouxtant sa maison à Radisson. Dans chacun des camps, une des tentes tient lieu d’infirmerie. Elle lui est réservée. Elle compte au moins deux lits, c’est-à-dire une pour lui et une pour le travailleur souffrant d’une blessure — infligée par une tronçonneuse, par exemple — ou d’un malaise — causé par une vilaine grippe, par exemple — à qui le secouriste de brousse prodigue les premiers soins avant de l’aéroporter dans un hôpital dans le Sud.

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